Sur quelle note finir cette année intranquille ? Pas en analysant la victoire populaire de Zohran Mamdani à la mairie de New York : déjà lu chez beaucoup d’autres. Pas en dissertant sur les prévisions belliqueuses de nos généraux en chef : trop plombant. Pas en rêvant sur un arc-en-ciel ou en cherchant à sauver les abeilles : je les garde pour mon imaginarium.

Je succombe à la facilité de reparler de sport. Après tout, c’est un précieux espace d’aération sur lequel j’ai pu compter cette année, en faisant du basket loisir presque toutes les semaines, en devenant officiellement éducateur du baby-rugby pour une douzaine d’enfants de 3 à 6 ans le samedi matin, en découvrant la pelote basque à Biarritz cet été, en faisant des tours de kayak avec les copains sur l’étang de Paimpont pendant les vacances. Rappelons pour le plaisir que ce printemps fut celui de la consécration pour le supporter parisien avec une domination époustouflante sur la scène européenne. 

À l’occasion du séminaire de fin d’année que nous venons de tenir, notre équipe s’est offert un escape game sportif puis une initiation au fameux padel. Verdict sympathique pour ce sport ludique et moins fatiguant que le tennis qui séduit avant tout les élites, mais il est peu probable qu’il détrône le ping-pong au sommet de mes sports de raquette favoris. 

Rendez-vous en 2026 pour célébrer les 10 ans des 3 points en pleine forme !

Autre plaisir sportif, j’étais invité mi-novembre à la belle fête bretonne autour du match délocalisé des rugbymen de Vannes au Roazhon Park