Du 7 au 9 décembre, Paris accueille le sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement ouvert (OGP en anglais). Administrations publiques et sociétés civiles internationales sont réunies pour partager leurs plateformes numériques et bonnes pratiques en matière de transparence, collaboration et participation démocratique des citoyens.
Après un an de travail, de rencontres et de tests de plateformes avec l’équipe du think tank point d’aencrage, nous publions à cette occasion la première partie de notre rapport sur le renouveau démocratique auquel nous aspirons. L’enjeu central si nous voulons changer véritablement le fonctionnement de notre démocratie avant qu’elle soit emportée par la défiance, la colère et le renoncement, est d’intensifier nos pratiques. A l’école, en entreprise, dans nos projets collectifs, avec des modes de décision et outils innovants. Pour qu’ils soient accessibles au plus grand nombre et révèlent le pouvoir d’agir en chacun de nous, il nous paraît absolument nécessaire de militer pour que les plateformes et applications numériques soient développer en open source. Dans une tribune que j’ai rédigée pour l’OGP, je lance l’alerte sur la direction prise par une partie de la civic-tech française, qui s’éloigne de la production des biens communs numériques dont nous avons besoin en s’attachant à des modèles économiques fondés sur l’exploitation de logiciels propriétaires.
Rendez-vous le lundi 5 décembre sur les comptes facebook et twitter de point d’aencrage pour découvrir nos constats et nos propositions !